La parole de l’homme épousait celle du policier assermenté.
Nulle compromission, nulle manipulation, nul besoin de déformer son rapport à la réalité. L’homme était – et est toujours – libre, dévoué et intègre. La parole et les écrits d’Olivier Guéniat épousaient la posture du chef de la Police judiciaire neuchâteloise. C’est rare.
Un policier de talent et d’audace s’en est allé
Depuis hier après-midi, nous devons poursuivre les réformes de nos polices sans lui. Dans le dernier message qu’il m’a adressé, il y a peu, il s’insurgeait, une fois de plus, contre la militarisation de son métier.