Comme psychothérapeute on me demande souvent si je suis freudien, jungien, pavlovien etc. Je réponds volontiers, surtout dans les milieux qui ont certaines prétentions intellectuelles, que je suis « dorsazien ». Ceux qui connaissent mon nom — ce qui est de plus en plus rare à mesure que je m’éloigne de mon cercle quotidien (tout le monde ne peut pas passer régulièrement à la TV) — se fendent d’un sourire, au moins pour me faire plaisir. Les autres ont l’air un peu gênés, sans dévoiler si c’est la peur de paraître sots en ignorant un auteur illustre ou ma ridicule prétention, qui [ Lire la suite ]